Dame de mes pensées, tu ne te gausse pas
Des aveux bancals fait de ce coeur palpitant,
Sur les mots prononcés ne te méprend donc pas,
Ils ne sauraient jamais montrer mon âme, pourtant
C'est mon arme désignée, espérant te faire voir
Ce que mes vains discours ne peuvent te faire entendre.
Ô Éloïse, crois-moi quand je parle le soir,
Ô fleur de ronce, crois moi, je ne veux rien te prendre.
Que mes espoirs meurent, tu resteras une ancre,
Un phare guidant mon âme dans les brumes d'Avalon.
Que mon désir s'estompe, tu resteras mon encre,
Une magie qui fait que mon